Archive for juin 2015
La réalisatrice du film Qui es-tu Alaska ?
Rebecca Thomas est annoncée comme réalisatrice pour le film adapté de Qui es-tu Alaska ? Elle a auparavant réalisé le film Electrick Children.
Le scénario sera écrit par Scott Neustadter et Michael H. Weber (les scénaristes des deux premiers films) et produits par la même société de production Temple Hill Entertainement avec Wyck Godfrey et Marty Bowen, pour Paramount.
Flocons d'amour, le film !
Le film adapté du livre Flocons d'amour (ma critique du livre >>>) écrit avec Maureen Johnson et Lauren Myracle est confirmé et annoncé pour le 9 décembre 2016 !
Il sera adapté par la scénariste des Pitch Perfect : Kay Cannon.
Le film a été acheté par les studios Universal Pictures et sera produit par Scott Stuber (Ted) et Dylan Clark (Oblivion) pour Bluegrass Films.
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[Reportage] John Green en France
J’étais
ce mercredi 17 juin à Paris pour aller à la rencontre de John Green, Cara
Delevingne et Nat Wolff. Retour sur une journée de folie pour le nouveau film
adapté d’un roman de John Green La Face
cachée de Margo.
Les photos parcourant le reportage, sauf indication, sont de moi.
Un album photo de la journée est disponible ici >>>
Arrivé
la veille à Paris, je me lève de bon matin. Ca y est, c’est le jour J, le jour
dont je rêve depuis bientôt 3 ans : rencontrer John Green (Jean Vert, pour
les intimes) ! Après les préparatifs matinaux, me voilà parti pour une
salle de projection privée. Très chic, et pouvant accueillir 40 personnes,
celle-ci est ouverte ce matin pour quelques journalistes parisiens, pour voir
le film La Face cachée de Margo.
L’ambiance est détendue, même si je me sens presque intrus parmi ce petit monde
parisien. Très vite, on nous fait entrer, et après un peu d’attente, le film
commence… Paper Towns est lancé.
Je
vous en parlerai bientôt, mais je n’ai pas le droit de le faire avant le 5
juillet. Ce n’est que partie remise !
Après
la projection, je vais manger avec mon ami Fred, des Histoires sans fin (un
très bon site sur la littérature jeunesse) qui était aussi là pour la
projection et la rencontre qui a suivi. On passe devant l’hôtel Le Bristol, où sont
logés John Green, Nat Wolff et Cara Delevingne, et on aperçoit des fans qui
attendent leur sortie de l’hôtel.
A
14h30, nous entrons dans l’hôtel. Tout est très luxueux, forcément, et on se
rend à la suite où nous sommes attendus. Ici, on se pose, avec les autres
journalistes du Web qui ont été invités à la rencontre. On attend notre tour.
Quand ils entrent dans la salle pour voir les journalistes, j’aperçois Nat
Wolff… et John Green. Je suis tout remué : John Green, en vrai. C’est
dingue. Juste dingue !
Puis
c’est à notre tour. Nous entrons dans un petit salon où sont installées des
chaises devant un canapé et des fauteuils. Cara Delevingne est là, et avec Nat
Wolff ; c’est très étrange de les voir là, après avoir vu le film le matin
même. Puis John Green arrive et c’est extraordinaire comme il reste
génial. On a toujours un peu peur de casser un mythe en rencontrant un
auteur : là il est drôle, souriant, et toujours intelligent et
intéressant. C’est extraordinaire.
La
conférence commence sous l’excitation de la salle que l’on sent tout aussi
enjouée que moi. C’est un très beau moment que de les voir là, tous les trois,
discutant presque ensemble, et de saisir un peu leur alchimie, cette amitié que
l’on cerne avec sourires. Néanmoins, les questions sont un peu timides et
souvent désorientées, et surtout elles ne parlent que très peu du film. J’en
poserai une, questionnant la ressemblance entre Margo et Alaska.
Cette
interview croisée se déroule donc dans le rire et la bonne humeur. Ça commence
doucement, avec une question à Cara Delevingne sur sa carrière, son travail et
son alternance entre sa carrière de top-model et d’actrice. Elle ne compte pas
arrêter d’exercer l’une de ses deux activités, le fait de jouer étant venu sans
une réelle décision - et avec ce grand talent ajoute Nat Wolff.
John
Green répond ensuite, avec humour toujours, à la question de savoir quel est
son personnage préféré – même s’il est difficile d’y répondre ; « ce
sont tous mes enfants » dit-il. S’il parle de Radar (joué par Justice
Smith), ou évoque Hassan du Théorème des
Katherine, il finit par conclure que Margo Roth Spiegelman reste, dans La Face cachée de Margo, son personnage
préféré. Elle refuse d’être mise dans des cases (notamment par les jeunes
filles de son âge), tandis que chacun projette sur elle ce qu’ils veulent voir.
Il adore ce personnage et nous en fait voir avec force sa profondeur, même s’il
ajoute qu’il ne ferait sûrement pas les mêmes décisions qu’elle prend, sans
qu’on les attende. En parallèle, ils rigolent de savoir quel est son acteur
préféré : Justice Smith (Radar), Ansel Elgort (Gus dans Nos étoiles contraires), ou plutôt, et
ils le disent tous les trois ensemble : Chris Willis, pour Die Hard 4.
Puis
il compare Alaska et Margo d’une façon brillante. Pour lui, La Face cachée de Margo est une réponse
à Qui es-tu Alaska ? Il raconte
ne pas avoir fait une assez bonne explication du regard que les garçons peuvent
porter aux filles. Avec Miles, ce dernier écrivait sur Alaska mais ce n’était
pas vraiment d’elle qu’il parlait, comme quand Q parle de Margo, il parle d’une
idée qu’il se fait d’elle. Or on ne peut avoir une relation qu’avec des
personnes, et Quentin doit la voir comme une personne humaine complexe.
L’entente
est toujours intime et décontractée : quand ils parlent de leurs premières
déceptions amoureuses, par exemple. Nat Wolff raconte son histoire avec une
certaine Kathy, quand il avait douze ans, et son rapport de fantasmes ou d’une
immature vérité aux filles. John Green, lui, identifie son ressenti à celui de
Q : il était, adolescent, un garçon qui romantisait les filles et ses
relations. Il les mettait sur un piédestal. Mais loin de l’humour de la
générosité, c’est presque de la cruauté que de transformer une personne en
idée. Une relation humaine est bien plus que cela. Mais « l’amour est
décevant », pense Cara Delevingne.
Quant
aux collections comme celles des Père Noël noirs des parents de Radar, la
question vient vite sur le tapis. John ou Cara et Nat ont-ils une telle
collection ? Non répondent-ils, et ils abordent deux questions. Celle de l’identification
du père noël en personne vieille et blanche, comme celle de l’identification de
Jésus en une personne blanche finalement. Pourquoi ne pas faire évoluer cette
idée préconçue ? Puis ils parlent des collections. Est-ce qu’il y a des
collections étranges ? C’est presque du fétichisme, ajoute la traductrice
de la rencontre quand John et Nat parlent de collections autour de Cara. Cette
dernière parle de sa collection très étranges de conques anglaises dont « personne
ne connaît l’existence à part elle » rigolent ses deux amis.
La
conférence se recentre ensuite brièvement sur le film. Est-ce que la
participation d’un écrivain au processus de création d’un film apporte quelque
chose de différent au film ? C’est plutôt rare et pourtant John Green a
ici été producteur du film. John répond que non, ça ne change pas grand-chose. D’une
part parce que lui-même n’a pas beaucoup apporté, et ne s’est pas beaucoup mêlé
de ce film, et d’autre part parce que c’est réellement un film, une œuvre « formidable »
réalisée par Jake Schreier.
Puis
une personne demande à Nat et Cara de se décrire l’un et l’autre. Une liste d’adjectifs
élogieux en ressort. Nat Wolff : « Cara est spontanée, drôle, belle,
sensible, sauvage, passionnée, magicienne, une super actrice et une belle
personne, naturelle… » Cara Delevingne : « Nat est mignon, beau
gosse, intelligent, charmant, super acteur, et un soleil chaud et magnifique… »
Enfin,
une dernière question va à John Green, en l’interrogeant sur les acteurs :
était-il évident que ce serait eux qui joueraient Margo et Quentin ? Pour
Nat Wolff, oui. Il était sur le tournage de Nos
étoiles contraires (il jouait Isaac) et lisait alors Paper Towns qu’il a trouvé génial, comme la production. « Paper Towns n’aurait jamais pu exister fait
sans lui. ». Nat et John sont aujourd’hui des amis très proches. Quant à
Cara, « pour être honnête, je ne la connaissais pas vraiment ». Elle
était mannequin et l’assistante de John Green lui a dit qu’elle était vraiment
cool et gentille. Finalement, il a été bluffé par sa prestation à l’audition et
il a tout de suite su, par sa puissance, et son interprétation vraiment
profonde de Margo, que ça devait être elle.
Photo de Tokyobanhbao |
A
la fin de la conférence, je me lève et m’approche timidement de John
Green : c’est mon grand moment ! Je le salue, me présente et lui dit
tout mon amour (oui oui). Je lui donne aussi le fanbook Dear Jean Vert qui
semble vraiment lui plaire et nous avons le temps de faire une petite photo avant
de repartir. J’ai des étoiles plein les yeux, des mercis plein les mots. Je
salue la contact presse, les autres journalistes ou blogueuses (n’hésitez pas à
aller sur Tokyobanhbao !) et je repars.
Quand
je me retrouve seul, je me dirige vers la place Clichy pour aller à la
librairie de Paris. Là-bas, grands affiches, barrières et service de sécurité.
Du monde attend déjà (moins que mes attentes) mais c’est déjà impressionnant.
On sent que le moment sera grand !
Je
discute longuement avec mon amie Karen, du Boudoir écarlate, et elle est
toujours aussi gentille, attentionnée et souriante (et elle est partout !)
Marie, qui traduit des vidéos pour le blog, nous rejoint, tout sourire, et
grandement surexcitée. Le moment approche…
Photos de la librairie de Paris (ci-suit, et ci-dessus à droite) :
On
se dirige ensuite vers l’entrée de la librairie où nous rejoignons Charlotte du
blog On lit plus fort Gallimard Jeunesse et les autres gagnantes du concours
(nous n’étions que deux garçons). Je fais la connaissance de personnes
adorables et tout aussi passionnées… quels sourires, quelle émotion !
Entrés
dans la librairie, deux fans et moi nous faisons interviewer par le
Parisien.fr, qui nous pose des questions très intéressantes, et je pense que
nos réponses l’ont aussi été. Nous étions des fans des livres (et non des films
uniquement), ce qui est bien aussi !
Je
rencontre ou recroise plusieurs personnes de Gallimard, très gentilles, et
discute aussi avec une stagiaire qui tient aussi un blog que je vous conseille
(>>>). L’ambiance est électrique ! C’est aussi un grand moment
pour eux qui n’ont jamais eu l’occasion de faire sa rencontre, qui sera
malheureusement très rapide.
Le
moment de sa venue est enfin là, et on l’entend arriver, précédé des cris des
fans à l’extérieur de la librairie. Il arrive, signe, rigole, lance des blagues
et des sourires et c’est vraiment tout lui : de l’esprit et de l’humour,
de la générosité et de la gentillesse. Il reste moins longtemps que prévu pour
aller voir les fans dehors mais me signe mon exemplaire P4A de The fault in our stars tout en recevant
avec joie mon cadeau (des galettes charentaises). Je lui répète une nouvelle
fois mon admiration et mon bonheur de le voir ici, et c’est fini, je ne
pourrais plus lui parler…
Sorti
de la librairie, je me poste à son entrée et le regarde sortir devant les fans.
C’est parti pour 45 minutes d’aller-retour le long des barrières où il signera
et fera des photos avec. Il est préparé, mais speed et pourtant toujours aussi
gentil et généreux. On y décèle toujours son humour et son regard attentionné
sur le monde, les gens et notre génération aussi.
Ces photos-ci sont de la Twentieth Century Fox |
Je
profite de ce long temps pour discuter avec des personnes de Gallimard, mais
aussi des amis. Je croise alors Sarah Urist Green, la femme de John Green, qui
s’occupe notamment de The Art Assignement, sur Youtube et qui est, dans les
vidéos Vlogbrothers, le « Yéti ». C’est un plaisir de lui dire que
j’apprécie beaucoup son idée et ce qu’elle a pu faire avec John Green, de
discuter de lui et d’échanger un peu avec elle. Elle est très souriante, pleine
de chaleur et de gentillesse.
Finalement,
la journée se termine avec la même folie dans les cris et les sourires, et de
mon côté par la fin de l’interview du Parisien, mais aussi celle de Fan2. Puis
je fais enfin la rencontre de Lyra, une Nerdfighter française très impliquée,
qui est aussi très sympathique ! Je quitte cette belle folie et cette
journée pleine d’émotions après le départ dans une voiture teintée et noire qui
emmène John Green loin de mon cœur (lire cette phrase avec la chanson Not about angels en fond sonore).
Photo de Une vie de livres Poster, T-shirt et cartes distribuées à l'occasion La Face cachée de Margo offert aux gagnants du concours ! |
Reportages vidéos dont interviews de moi :
Reportage écrit d'Amrita, Une vie de livres >>>
Posté par la Librairie de Paris le mercredi 17 juin 2015
Il y a aussi eu un photocall à la Tour Eiffel, avec John Green, Cara Delevingne et Nat Wolff.
Les photos sont de la Twentieth Century Fox.
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[Critique] Flocons d'amour
« J'ai senti des frissons me parcourir la colonne vertébrale, parce que toute phrase qui commence par "je t'aime, mais..." ne peut pas bien se finir. »
Cette phrase résume plutôt bien ce recueil de nouvelles : fleur bleue et addictif, parfois émouvant mais souvent stéréotypé, et tire-émotions. Trois auteurs croisent trois histoires d’amour dans une tempête de neige, avec émotion et humour. Ça donne un recueil assez séduisant, qu’on lit au coin du feu à Noël, mais qui fait effet boule de neige : c’est joli, mais c’est un peu fouillis, et surtout pas toujours original.
Le décor est planté par Maureen Johnson et son train qui se dérègle, avec une héroïne assez drôle, mais qui émeut aussi. Il se termine par Lauren Myracle, la cadette du groupe, avec son héroïne catastrophe, et un peu trop émotive. Entre les deux, un John Green toujours aussi fort : c’est avec justesse et magie (parfois un peu trop), qu’il relève le recueil, et lui donne un peu de profondeur. Le trio fonctionne bien : chacun y apporte son trait de personnalité : Maureen Johsnon est toujours déjantée, John Green toujours juste et respectueux, tandis que Lauren Myracle apporte l’étincelle sensitive.
Le recueil part d’une idée enjouée, et pleine de peps. Et on ressent cette énergie au long des nouvelles : ça vibre, frétille, éclate. Maureen Johnson a un humour acide, saisissant, tandis que John Green joue sur des personnages un peu spéciaux et à l’humour élégant. Enfin, Lauren Myracle ajoute une vibration sucrée et sensible au livre.
Malgré tout cela, le livre part souvent dans l’excès. Un peu trop d’émotion, de cul-cul et d’amour. L’excentricité séduit, l’émotion à tire larigot ennuie. Même John Green glisse dangereusement vers la magie de Noël qui enduit les mots d’un vernis trop facile. Pour tous, c’est parfois touchant, parfois intelligent même, avec un peu de ton acerbe, mais c’est souvent trop.
Plus que ça, on tombe, avec Maureen Johnson, et surtout avec Lauren Myracle, dans les stéréotypes tant des émotions, que des relations. Et jusque dans les phrases qui s’enfilent avec une certaine facilité. Et c’est dommage : les personnages perdent de leur intensité, les mots de leur justesse et l’intrigue de sa saveur.
Finalement, on se retrouve un peu plus dans la nouvelle de John Green, qui ne vend pas une histoire d’amour pleine de poncifs. Au contraire, il offre une simplicité dont il est le maître, alliée à cette mise en valeur tendre et talentueuse des émotions adolescentes. Il sait faire de nos questions ce genre de questionnements à la fois existentiels et simples.
Flocons d’amour est donc un recueil agréable, tendre, émouvant parfois, et souvent drôle. Mais il plonge parfois trop dans une vaine facilité, dans des clichés trop importants ou une écriture convenue. On aurait aimé qu’ils nous montrent une image de Noël un peu moins conforme, malgré notre attachement aux clichés de cette fête. On aurait peut-être aimé qu’ils aillent un peu plus loin dans les sentiments, et les relations des personnages, en travaillant sur leur justesse et leur véracité. John Green le fait un peu, en dérapant néanmoins sur un terrain glissant. Il apporte son intelligence au texte. On ne ressort alors pas changés de ce recueil, mais on aura au moins passé un bon moment : ça a le mérite, amplement suffisant, d’apporter joie, et tendresse.
◄►◄►◄ Présentation du livre ►◄►◄►
24 décembre. Nuit des miracles ? Ou des catastrophes ? Une terrible tempête, un train bloqué dans la neige. Gracetown : tous les voyageurs descendent ! Gracetown… Bourgade perdue au milieu de nulle part qui vous ferait presque regretter le traditionnel et soporifique repas de Noël. Pourtant Jed, Jubilé, et les autres vont partager le réveillon le plus insolite de leur vie. Dans un café bondé de pom-pom girls ou au détour d’une route enneigée, les rencontres inattendues se multiplient. Les couples se font, se défont et se refondent. Louvoyant entre les flocons, les flèches de Cupidon qui pleuvent sur la ville ne laisseront personne de glace ! John Grenn, Maureen Johnson, Lauren Myracle : les plumes de trois grands auteurs s’allient pour vous faire rire et rêver d’amour, créant un univers où les anges de Noël ne chôment pas !
Par John Green, Maureen Johnson et Lauren Myracle
Aux éditions Hachette
352 pages
13,90 €
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[Concours] Qui es-tu Alaska ? édition collector : 3 exemplaires à gagner !
Pour fêter les 10 ans de Qui es-tu Alaska ?, à gagner : 3 exemplaires de l'édition collector de Qui es-tu Alaska ?, (400 pages, 19,90€, avec des bonus inédits).
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- OUVERT A TOUS LES HABITANTS DE FRANCE MÉTROPOLITAINE, SUISSE ET BELGIQUE
John Green, un succès éditorial à travers le monde
Voici des chiffres publiés en mars (source de différents éditeurs à travers le monde). L'image montre donc les dépenses par personnes par an, les livres achetés, les ventes e-books et les meilleures ventes 2014 dans chaque pays.
Cette image montre donc que John Green, en 2014, est le second auteur le plus vendu au Brésil et le premier aux États-Unis et en Espagne. En France, il est 6ème, avec 240 279 exemplaires de Nos étoiles contraires vendus (>>>).
Le site TheWrap a aussi partagé une image reprenant les records de Nos étoiles contraires aux USA sur Internet. Les voici :
Le site USA TODAY a aussi publié une liste des 100 Best-Sellers de 2014, basée sur les listes de leur propre site entre le 30 décembre 2013 et le 28 décembre 2014. Nos étoiles contraires y figure en premier, en faisant ainsi aux USA le plus grand best-seller de l'année ! >>>
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